31.10.2024
Un document étudié par 3250 médecins et scientifiques rapportent que les agences sanitaires étaient informées sur l’extrême toxicité de l’injection anti-COVID-19.
«Le laboratoire [Pfizer] et les agences sanitaires avaient conscience dès novembre 2020 de l’extrême toxicité de l’injection anti-COVID-19, mais, elles ont contourné la législation pour l’imposer à des millions de citoyens», fait savoir Dominique Delawarde, citant un document paru le 19 octobre 2024 sous le titre: «The Pfizzer Papers».
Le document est le «fruit de la collaboration de 3250 médecins et scientifiques qui ont consacré deux années à analyser les 450 .000 pages de données de l’essai Pfizer», précise le Général français (2S), ancien chef «Situation-Renseignement-Guerre électronique» à l’Etat-major interarmées de planification opérationnelle Dominique Delawarde.
«Ce n’est pas la première fois que l’industrie pharmaceutique se fait prendre les doigts dans la confiture», martèle-t-il .
«En France où les autorités et les médias, trop souvent corrompus, ont toujours un temps de retard, on continue de promouvoir le vaccin Pfizer», se désole Dominique Delawarde, rajoutant:
«C’est comme pour le déficit budgétaire: «Ayez confiance, dormez sur vos deux oreilles, tout va bien braves gens, le gouvernement s’occupe de vous, quoi qu’il en coûte!» Le réveil sera douloureux…»
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