La mise à mort sur ordonnance a été renforcée par décision d'Etat. Le site Profession Gendarme a publié un article mettant en garde envers les plans pour tuer par euthanasie une grande partie de la population française. Les premières victimes sont les personnes vivant dans les Ehpad et se trouvant dans les services à soins palliatifs.
La nouvelle décision en date du décret n° 2020-1262 du 16 octobre 2020 autorise de tuer les personnes considérées comme ne pouvant pas survivre au SARS-CoV-2 par l'emploi du Rivotril. Observateur Continental reprend l'article car ces mesures permettent, en fait, de tuer pour répondre à des quotas d'hygiène d'Etat.
L'auteur de l'article du site Profession Gendarme écrit que «dans cette affaire de Rivotril tout s’est fait en catimini car les media mainstream n’en ont pas parlé et les médecins travaillant autour des Ehpad ont joué un rôle plus que discutable laissant aux infirmiers et infirmières le soin d’injecter la seringue mortelle les chargeant ainsi d’un sentiment de culpabilité qui n’aurait jamais dû leur revenir comme cela a été décrit dans l' audition commission enquête AN. Pour documenter ses dires, l'auteur cite un passage de cette audition du 16 juillet 2020 où Patrick Bouet, président du Conseil national de l’ordre des médecins (CNOM), prend la parole: «S’agissant du Rivotril, l’Etat a pris acte de ce que les équipes de soins palliatifs ne disposaient plus d’Hypnovel, nécessaire pour la prise en charge des fins de vie, notamment dans les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad). Il a donc autorisé l’utilisation du Rivotril, dont les effets dépresseurs respiratoires sont connus et qui a vocation à agir sur la souffrance psychologique et physique. La profession s’en est émue car elle s’est demandé si l’on ne donnait pas du Rivotril aux patients dont on pensait qu’on ne pourrait pas les transférer à l’hôpital. En réalité, le Rivotril n’a pas été utilisé différemment de l’Hypnovel. Avec la société française des soins palliatifs, nous avons toutefois appelé l’attention de l’ensemble des acteurs sur le fait que l’utilisation de ces thérapeutiques n’échappait pas aux exigences de la loi et que les décisions en la matière devaient être de nature collégiale. Nous serons vigilants sur le respect des règles de la prescription. Nous n’avons cependant pas reçu directement de doléances à ce sujet».
L'auteur s'inquiète, à juste titre, de voir la gestion de la mise à mort de personnes dans cette crise sanitaire car «à une époque où on laisse des gens agoniser des mois durant en leur parlant de dignité humaine alors qu’ils réclament qu’on les aide à partir, les victimes du Rivotril n’ont pas été consultées pas plus que leurs familles, en contradiction avec toutes les arguties qu’on oppose aux partisans du suicide assisté. En outre, les familles ont eu l’interdiction de voir leurs proches.
Certains soignants vont nous dire (Ils ont dit !) que cela soulageait les malades mais la ficelle est un peu grosse car d’abord cela permettait d’affecter le certificat de décès de la mention Covid sans aucune preuve ni test et ensuite cela masquait la politique désastreuse de destruction de l’hôpital entreprise par Jean Castex, Roselyne Bachelot et les autres. D’ailleurs si le premier ministre a appelé la «Castafiore» au gouvernement c’est pour se sentir moins seuls devant les résultats catastrophiques de leurs décisions, sans oublier Agnès Buzyn, l'ancienne ministre de la Santé. Olivier Véran, l'actuel ministre de la Santé, persiste à ne pas vouloir laisser soigner les gens en première intention par les généralistes avec un médicament peu cher et qui a fait ses preuves ailleurs [l'hydroxychloroquine].
Finalement, la société entière a basculé dans une forme de camp concentrationnaire où des professionnels de la médecine assistés de soignants ayant peur de perdre leur emploi obéissent aux ordres d'euthanasier en masse et que le système tue pour éliminer des personnes certainement pour des raisons économiques uniquement et qu'il n'existe plus de contrôle pour préserver la dignité humaine ou protéger les gens. L'auteur de Profession Gendarme s'inquiète car «à une autre époque, il y aurait eu des procédures judiciaires établies et la justice judiciaire aurait eu à trancher y compris sur le caractère criminel du décret Rivotril pris en contradiction avec tous les textes et la jurisprudence sur le sujet de la fin de vie» et termine sur le fait que «le virus a et aura bon dos pour justifier des actes injustifiables et instiller la peur et l’anxiété généralisées pour installer une dictature que nos ploutocrates appellent de leurs vœux depuis des années» car «le Rivotril sous forme injectable est mortel quand on est en insuffisance respiratoire». «Ils vont ré-assassiner les vieux dans les Ehpad comme ils l’ont fait en mars», s'indigne-t-il.
En effet, en lisant le décret n° 2020-1262 du 16 octobre 2020, on lit que même des personnes non malades mais «susceptibles d'être atteints par le virus SARS-CoV-2» devront être euthanasiées: «Par dérogation à l'article L. 5121-12-1 du code de la santé publique, la spécialité pharmaceutique Rivotril ® sous forme injectable peut faire l'objet d'une dispensation, par les pharmacies d'officine en vue de la prise en charge des patients atteints ou susceptibles d'être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l'état clinique le justifie sur présentation d'une ordonnance médicale portant la mention «Prescription Hors AMM dans le cadre du covid-19».
Pierre Duval
Source: http://www.profession-gendarme.com/leuthanasie-au-rivotril-en-chiffres/
Les opinions exprimées par les analystes ne peuvent être considérées comme émanant des éditeurs du portail. Elles n'engagent que la responsabilité des auteurs