Des informations inquiétantes commencent à être diffusées de manière officielle par les média sur la mise en place de «cellules de lutte cybernétique contre tous les commentaires des anti-vaccins» par les services de renseignements du Canada, des Etats-Unis, du Royaume-Uni, d’Irlande du Nord, du Canada, d’Australie et de la Nouvelle-Zélande.
Selon un article du Sunday Times, le gouvernement britannique prépare une campagne d’information (désinformation) massive à destination du public pour convaincre la population d’accepter de se faire vacciner contre la Covid-19. Jusque-là rien d’anormal. Ce qui frappe est le recours à l’armée britannique et plus spécialement la 77ème brigade de «défense culturelle» pour surveiller et contrer le discours anti-vaccin sur le Net.
D’autres unités militaires de cyberguerre et de guerre informationnelle sont mobilisées à cette fin dans des opérations clandestines pour identifier et ficher les personnes «récalcitrantes», les «meneurs», les gens qui posent beaucoup trop de questions sur l’utilité ou la fiabilité du vaccin anti-Covid-19 provenant d’un laboratoire occidental. D’autres unités spécialisées dans le «changement comportemental en ligne» comme la 77ème brigade de l’armée britannique réalise et gère des milliers de faux profils et des bots sur les réseaux sociaux pour façonner l’opinion. En général, pour les média officiels, les bots sont accusés de propager des «fake news» sur les réseaux sociaux, mais occupent une place grandissante dans notre quotidien. Cette fois, c'est l'armée qui utilise ce système, alors que les catégories majoritaires de la population fréquentant les réseaux sociaux sont très faciles à être manipulées par une force dédiée à cette mission.
Cette unité a été formée en 2010, à la veille du «Printemps arabe», une guerre hybride par ingénierie sociale ayant emporté certains régimes arabes en combinant de manière inédite des réseaux sociaux, une guérilla urbaine et une action militaire plus ou moins clandestine. Elle a servi en Afghanistan pour officiellement étudier le «comportement des populations civiles afghanes» et fournir des conseils linguistiques et culturels aux troupes britanniques engagées dans ce pays enclavé et guerrier d’Asie. Mais selon des sources évoquées par le Sunday Times, cette unité comporte au moins un responsable de Twitter et est connue pour réaliser et gérer des «fermes» à trolls et des faux profils pour façonner une fausse opinion ou pour dénaturer les faits. En d’autres termes, fomenter de fausses informations suivant une stratégie orientée.
L’armée britannique n’est pas la seule impliquée dans ces activités subversives contre des citoyens britanniques et des étrangers. Le renseignement électronique britannique, le fameux «Government Communications Headquarters» (GCHQ), le quartier général des communications du gouvernement, est impliqué également dans le développement d’outils de contrôle et de création de fausses informations couvrant des thématiques allant des nanoparticules à l’astrophysique en passant par la microbiologie et la médecine. Des «fermes» à trolls hiérarchisés interviennent dans les discussions et tentent de les influencer ou les saboter lorsqu’il s’agit de se poser des questions légitimes sur les vrais enjeux d’un vaccin d’urgence visant un agent pathogène mutant de la famille des coronavirus mais pas uniquement. Il y a une semaine, deux internautes britanniques ayant publié des statuts remettant en cause l’utilité des masques en papier ont fait l’objet d’un ciblage par un bataillon de cyberguerre via des trolls commandés par un lieutenant-colonel d’active. Les deux citoyens britanniques âgés de plus de 60 ans et ayant une solide formation académique ont été fichés comme un danger potentiel à la sécurité du royaume de Sa Majesté britannique.
Des échos similaires nous parviennent d’autres pays du monde libre, y compris de France. Pourquoi, donc, faut-il mobiliser des services de renseignements et donc des espions pour traquer et harceler des individus remettant en cause la narration officielle, la doxa du Covid-19 et des vaccins élaborés par les grands laboratoires, de ce Big Pharma proche de très généreux «mécènes philanthropes et désintéressés» comme Bill Gates s’il n’y avait pas là anguille sous roche ou une manipulation flagrante de l’intelligence humaine paralysée par la peur? Et dire que certains osent traiter toute voix discordante de «complotiste» alors qu’ils sont les victimes d’un des plus grands complots mondiaux contre l’intégrité de l’espèce humaine.
Par réflexe de survie, les gens ne veulent pas se réveiller de la profonde torpeur induite par le matraquage de la machine de propagande de guerre perpétuelle fonctionnant désormais à plein régime dans le cadre d’un nouveau plan d’annihilation de la faculté de discernement de l’esprit humain. Souvent la réalité est une vérité trop dérangeante et brutale pour être acceptée et l’humain préfère persister dans une réalité mensongère lui préservant des privilèges précaires que d’admettre qu’il s’est fait manipuler de sa venue en ce bas monde jusqu’à son passage à trépas.
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